Rubrique:

image  IMG2_4305

Je ne l’aurais manquée pour rien au monde, la conférence sur les Huiles Essentielles avec le célèbre Dominique Baudoux, l’un des meilleurs spécialistes mondiaux de l’Aromathérapie. C’est une grande chance qu’il se soit déplacé de Belgique pour venir dans le Tarn…

Nous nous y sommes rendus de bonne heure et miracle nous avons pu nous mettre au premier rang,  avec mon dictaphone c’est plus pratique pour enregistrer…..
Les 2h30 de conférence prévues se sont transformées en 4 heures, tout le monde avait tellement de questions à poser…. Et quand on est passionné, on sait bien que le temps ne compte plus !  Winking smile
Merci à mon homme pour sa patience et sa présence ….. Il a pu faire très rapidement une photo, au moment des dédicaces…. 

Comme vous pouvez le voir dans ma bibliographie,  les livres du Docteur Baudoux y sont bien présents….. Je les prends souvent en référence dans les formules que je vous propose sur ce site.

livre-dedicace-marie4_4313

Alors, si une conférence avec le Docteur Baudoux est organisée dans votre région, un bon conseil, foncez et allez  l’écouter… Vous saurez pourquoi les HE sont si efficaces et qu’il ne s’agit nullement de poudre de perlimpinpin comme certains le croient, et encore moins d’ésotérisme … L’aromathérapie scientifique se base sur des recherches cliniques, sur l’étude des différentes molécules qui entrent dans la composition des huiles essentielles.
Lorsqu’on observe aujourd’hui la résistance des bactéries aux antibiotiques (plus de 7000 morts par an en France..), les HE seront comme nous l’a dit le Dr Baudoux un tremplin pour la médecine future. Un laboratoire très connu s’intéresse de très prés à coupler un antibiotique à une Huile essentielle, c’est dire que nous n’avons pas fini de découvrir leur efficacité !
A-LIGNE-MAISON


Rubrique:

creme-tonka2_4074

Ingrédients

Huile végétale Coco BIO  : 24.3 g
Cire émulsifiante n°2 : 11g
Absolue Fève de Tonka : 0.2 g ou 0.5 cuillères DASH
Eau aromatique Santal blanc 52.5 g
Poudre d’Allantoïne : 1.8 g
Conservateur Extrait pépins de pamplemousse : 15 gouttes
Agent multi-usages Bicarbonate de soude : 0.08 g ou 2 cuillères DROP

Mode Opératoire

Bol 1 : Huile de coco + Cire émulsifiante n°2 + Absolue de fèves de tonka.
Bol 2 : Eau aromatique de Santal blanc

Faites chauffer séparément au bain-marie les deux bols à 70°C.

Lorsque les deux phases sont à la même température, sortez les bols du bain-marie puis versez lentement le bol 2 dans le bol 1 sans cesser d'agiter vigoureusement au batteur mousseur ou au mini-fouet pendant environ 3 minutes. Le mélange blanchit et s'homogénéise.
Sans cesser d'agiter, mettez le bol dans un fond d'eau froide afin d'accélérer le refroidissement et la prise de l'émulsion pendant encore 3 minutes environ.
Ajoutez enfin le reste des ingrédients (poudre allantoïne, conservateur, bicarbonate) en mélangeant bien entre chaque ajout.
Transférez la préparation dans votre pot. 

    image

J’aime beaucoup la senteur douce de la fève de tonka entre Vanille et Amande …
J’applique cette crème en massage aussi bien sur les pieds, les mains et le corps. 
Une crème très douce et délicatement parfumée pour un moment cocoon !

A-LIGNE-MAISON


Rubrique:

image

ACTUALITÉ. L'Oréal fait l'objet d'une plainte de dizaines d'utilisatrices d'un produit capillaire à l'amla. Une plante bénéfique pour les cheveux... à condition de ne pas figurer en dernier d'une liste de substances dangereuses.

Depuis le 14 septembre 2016, L'Oréal a quelques cheveux à retordre : la multinationale cosmétique fait en effet l'objet, aux États-Unis, d'une Classe action regroupant des dizaines de femmes, victimes de l'Optimum Amla Legend, une gamme de soin « ethnique », distribuée par la marque technique de L'Oréal (SoftSheen et Carson).

Marketing abusif

La publicité en vante, comme son nom l'indique, la teneur élevée en huile d'Amla, traditionnellement utilisée en Inde pour ses vertus capillaires. Spécifiquement destinés aux afro-américaines, les produits L'Oréal en ont conduit plus d'une au bord de la calvitie : le produit les a brûlées plus qu'il n'a lissé leurs cheveux, entraînant cloques et alopécie !

La poudre d'Amla, une groseille à maquereau indienne, est pourtant un bon soin capillaire. Sous réserve évidemment de ne pas être mélangée à des huiles ou des composés irritants, tels que l'huile de paraffine, le phénoxyéthanol ou le butylène-glycol ! La plainte précise d'ailleurs que la teneur en huile d'Amla est très faible - c'est même le dernier ingrédient de la liste... - contrairement à ce cocktail agressif et potentiellement toxique !

Source  Magazine BIO Info
A-LIGNE-MAISON


Rubrique:

Une recette simplissime qui ne demande que 2 ingrédients et 3 mn de votre temps…..Si si !

creme-abricot_3333

Il vous faut :

image 1 pot de crème neutre

 image 1 Base de teint abricot que vous pourrez trouver ici

J’ai mélangé 1g de Base de teint abricot à 50 g de crème neutre et voilà ……

creme-abricot_3332

L’effet “bonne mine” tout en transparence de cette crème est très naturel et n’a rien à voir avec le pouvoir couvrant d’un fond de teint classique.
          Qui a dit que la cosméto maison était compliquée !
A-LIGNE-MAISON


Rubrique:

kiwi

Au-delà de son délicieux goût acidulé, le kiwi est avant tout un concentré de vitalité. Extrêmement riche en vitamine C il lutte efficacement contre le vieillissement cellulaire et les radicaux libres. Également riche en fibres il est l'ami du transit intestinal et sa forte teneur en vitamines du groupe B lui confère des propriétés sédatives et apaisantes du système nerveux.

L’hiver arrivant à grands pas, les fruits se font plus rares et il devient plus difficile de varier les saveurs. C’est sans compter sur le kiwi qui vient nous régaler de son goût exotique, non pas de l’autre bout du monde, mais directement de votre jardin ! Êtes-vous prêt pour le voyage ?

Introduit en France au début du XXe siècle, le kiwi fut d’abord appelé « groseille de Chine » en référence à son pays d’origine, mais aussi au goût à la fois doux et acidulé de sa chair délicate qui rappelle la groseille à maquereau.
Fait intéressant, il provient d’une liane, l’Actinidia deliciosa, qui compte plusieurs espèces dont les sarments peuvent atteindre une hauteur de dix mètres. Quant au fruit, c’est un des rares qu’on peut consommer en hiver en s’approvisionnant localement. Sa teneur en sucre monte en effet petit à petit grâce aux températures froides, c’est pourquoi il est généralement récolté entre octobre et novembre.

Le plein de vitamines, de bons acides gras et d’antioxydants

Composé de plus de 80 % d’eau, le kiwi est peu calorique (47 kcal pour 100 g).
Sa composition nutritionnelle n’en est pas moins particulièrement intéressante : il apporte 10 g de glucides simples (glucose et fructose) facilement assimilables. Bien que peu riche en protéines (1,1 g pour 100 g), le kiwi renferme principalement des acides aminés libres, ne nécessitant donc pas ou peu de digestion.

Ils sont donc directement absorbables avec une utilisation maximale.
Côté lipides, le kiwi nous en apporte très peu il est vrai, cachés dans les petites graines noires de sa chair. Mais ils se présentent sous la forme majoritaire d’oméga 3, acides gras indispensables à la lutte contre le vieillissement cutané.

Il est donc important de les consommer, d’autant plus qu’ils facilitent l’absorption des vitamines liposolubles antioxydantes A et E également présentes dans le kiwi.
Rappelons que les vitamines A et E sont avec la vitamine C les plus antioxydantes des vitamines et entrent en première ligne dans la lutte contre le vieillissement.
Mais le kiwi est également riche en composés phénoliques, procyanidines et flavonols, molécules qui contribuent toutes à la lutte antiradicalaire et sont intéressantes dans la prévention des maladies cardiovasculaires. D’après une étude norvégienne, le kiwi serait d’ailleurs un excellent cardioprotecteur.

Le kiwi soutient le système nerveux

Sa richesse exceptionnelle en vitamine C (80 à 100 mg pour 100 g) permet de couvrir les apports nutritionnels conseillés : consommer un kiwi par jour est donc recommandé, particulièrement chez les personnes consommant peu de fruits et légumes frais, mais aussi chez les fumeurs, qui ont un besoin accru de vitamine C, ou bien pour les femmes sous traitement ostrogénique, car ces derniers abaissent la concentration tissulaire en vitamine C.
De plus, le taux de vitamine C dans le kiwi ne varie que très peu après la cueillette, contrairement à la plupart des fruits. En effet, sa peau épaisse empêche le contact avec l’oxygène de l’air qui oxyde cette vitamine.

Cet effet barrière est renforcé par la présence d’acides organiques comme l’acide citrique, l’acide quinique et l’acide malique. Ils donnent en outre ce fameux goût acidulé au fruit. Si ce dernier a peu d’odeur, ses feuilles, elles, dégagent un parfum très particulier similaire à la cataire, plus connue sous le nom d’herbe aux chats. D’ailleurs, dans certains zoos chinois, on utilise les feuilles du kiwi (fruit qu’ils appellent « souris végétale ») pour préparer une infusion aux propriétés sédatives destinées aux félins… Ne vous étonnez donc pas d’entendre ronronner ces derniers aux pieds des lianes de kiwi !

Le fruit du kiwi participe quant à lui à notre apaisement mental et au fonctionnement optimal de notre système nerveux, grâce à sa teneur en vitamines du groupe B (notamment B6 et B9) indispensables à la synthèse de nos neurotransmetteurs.
Sa richesse en minéraux (700 mg pour 100 g), particulièrement en magnésium et potassium, complète cet apport vitaminique et s’avère un soutien précieux en cette période de transition entre automne et hiver.
Le kiwi permet ainsi de retrouver tonus et bien-être, en luttant contre les effets néfastes du stress tels que l’hyperémotivité, la fatigue nerveuse matinale ou les maux de tête. Malgré une teneur en vitamine C qui pourrait faire penser le contraire, son action sédative est tout à fait indiquée en cas d’insomnie.

Satiété et transit

N’oublions pas non plus la teneur élevée en fibres du kiwi : 2,5 g pour 100 g. Ces fibres sont d’ailleurs bien équilibrées, car on retrouve environ deux tiers de fibres insolubles, comme la cellulose et l’hémicellulose (qui stimulent le transit intestinal et favorisent l’élimination) et un tiers de fibres solubles, comme la pectine (qui améliorent la progression des déchets dans le tube digestif). Cette répartition permet de lutter en douceur contre la constipation avec une bonne tolérance. Ainsi le kiwi peut-il jouer le rôle d’une sorte de « pruneau light » pour les transits paresseux. De plus, ses fibres contribuent à la prévention des maladies cardiovasculaires, au contrôle du diabète de type 2 et favorisent la satiété… Une astuce consiste donc à manger un kiwi lors d’une collation pour calmer la sensation de faim et éviter de grignoter dans la journée.

Comment choisir ses kiwis 

Il faut d’autant moins hésiter à consommer le kiwi qu’il possède une résistance naturelle aux parasites et aux maladies : sa peau velue l’en protège assez naturellement et comme il s’agit d’une liane et non d’un arbre, il est en général à l’abri des champignons. Sa culture ne nécessite généralement pas de traitement avant ou après récolte quand la production est de qualité et c’est un des fruits où les pesticides sont les moins présents.
C’est le plus souvent le cas en France (5e producteur mondial) et particulièrement dans le Sud-Ouest, grande région productrice : le kiwi de l’Adour possède ainsi la double certification Label rouge et IGP (indication géographique protégée) ; il représente environ 25 % de la production nationale. Il est donc tout à fait possible de goûter aux saveurs exotiques du kiwi sans avoir recours aux importations de Nouvelle-Zélande, également grand producteur de kiwi, mais bien loin de chez nous...

Alors n’hésitez pas, mangez des kiwis !Winking smile

Source Magazine Plantes & Santé

A-LIGNE-MAISON

 
blogger