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Formule : Huile d’Olive bio 30%, HV de Ricin 10%, HV Coco bio 30%, HV sésame 30%, Hydroxyde de Sodium à recalculer.

Surgraissage additionnel 7% : Ajout de 35 grammes d’Huile végétale ou beurre à la trace.

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On croirait presque à une crème dessert vanille chocolat !
Procédé :

Commencer par bien vous équiper : Gants de cuisine en latex, lunettes de protection, manches longues et chaussures fermées.
Rappel de la Méthode de Saponification à froid ici

Mettre les huiles dans le pichet ajouter petit à petit la soude liquide  et mixer jusqu’à trace fine. (la trace arrive très vite, touiller avec une maryse pour éviter l’épaississement rapide de la pate).

Séparer pate en deux :

FLECHE-VERTEPremière moitié = Vanille

Ajout  14 g de macérât de vanille bio + 3 g de crème neutre bio + 4 g  fragrance vanille spectaculaire de chez Aromat’easy

FLECHE-VERTEDeuxième moitié = chocolat

Ajout 10 g d’HV de Coton + 7 g de beurre cacao fondu + 4 g fragrance chocolat + 6 g cacao en poudre dilué avec 1/2 c.à café d’eau.

Mettre un carton pour séparer le moule en 2 parties. Verser la partie chocolat, attendre 1 à 2 mn et verser la partie vanille.
Retirer délicatement la séparation en carton. Couvrir le moule avec un film plastique alimentaire et d’un torchon propre et laisser au repos 48 heures avant de le démouler.
Après démoulage, découper votre savon en tranches et le laisser en cure 4 semaines. Tester son pH avant utilisation.

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 Ce savon à l’odeur de chocolat vanillé est une vraie gourmandise, son pH après cure est de 7.5 donc très doux pour la peau. Super pour mes cadeaux de Noël ! image

 

 

 

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J’aime beaucoup les vidéos de Julien Kaibeck, aromatologue spécialiste des huiles essentielles et de la cosmétique BIO. il vous parle aujourd’hui des bienfaits de l’huile essentielle ou plutôt de l’essence de citron (Citrus Lemonum).

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En 2011, un Français consommait en moyenne 82 kg de viande par an, dont environ 25 kg de viande bovine. Si ces chiffres tendent à baisser depuis un bon nombre d’années, il n’en reste pas moins que nous sommes de gros consommateurs de produits carnés. Et alors que l’OMS a récemment classée la viande rouge dans la catégorie « probablement cancérogène », il est urgent – pour votre santé, votre portefeuille mais aussi pour la planète – de réduire notre consommation de bœuf, d’agneau, de porc et même de volaille.
Voici 5 bonnes raisons de faire ce choix, aussi bien en tant que consommateur qu’en tant que citoyen.

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1 – La viande est acidifiante pour l’organisme

Qu’elle soit rouge ou blanche, la viande est un aliment qui, consommée en quantité trop importante, peut perturber l’équilibre acido-basique de votre organisme. Pour un bon fonctionnement, le corps doit avoir un PH au dessus de 7, c’est-à-dire légèrement alcalin.
Si l’organisme parvient à éliminer les déchets, et notamment les matières acides, pendant les phases de repos, il ne peut en traiter de manière efficace qu’une petite quantité. Au-delà, votre corps ne parvient plus à se rééquilibrer et vous vous installez alors dans une acidose chronique qui peut être le point de départ de nombreuses pathologies (décalcification osseuse, inflammations chroniques et immunodépressions).

Le problème avec la viande est qu’elle contient des minéraux comme le chlore, le phosphore et le soufre. Leur métabolisation produit des acides chlorhydrique, phosphorique et sulfurique. Mais surtout, la décomposition des protéines produit de l’acide urique. C’est cet acide urique qui est particulièrement problématique. Pour le traiter, une enzyme est nécessaire : l’urase. Malheureusement, le corps humain en est dépourvu. Contrairement aux animaux carnivores. Résultats, l’acide urique stagne et intoxique votre organisme.

2 – Nous ne sommes pas des carnivores

Outre l’absence d’urase, un autre facteur nous différencie des animaux carnivores et nous empêche de digérer correctement la viande : la longueur de nos intestins. A l’instar des herbivores, le corps humain possède des intestins d’une longueur d’environ 7 mètres. Une telle longueur permet d’avoir une grande surface de contact du bol alimentaire avec les cellules intestinales et ainsi de faciliter l’absorption des molécules alimentaires. Si cela est bénéfique quand il s’agit de digérer des fruits ou des légumes, les choses se compliquent grandement quand la viande est au menu.
Dans des intestins d’animal carnivore, la viande n’a qu’un ou 2 mètres à parcourir. Chez l’homme, le trajet étant beaucoup plus long, la viande va stagner et va entraîner un phénomène de putrescence acide et donc toxique. Celui-ci risque tôt ou tard d’endommager les parois intestinales, d’empêcher une bonne absorption des nutriments, de créer de la porosité intestinale et, par voie de conséquence, d’affaiblir le système immunitaire.
Vous l’aurez compris : manger de la viande en quantité n’est pas une habitude anodine et encore moins sans risque pour votre santé.

3 – Notre corps n’a pas besoin d’autant de protéines animales

Nous ne prônons pas le végétarisme à tout va et pour tout le monde. Décider d’être végétarien est un choix personnel et prendre du plaisir à manger de la viande est légitime. En revanche, notre objectif – loin de toute culpabilisation – est de vous permettre de comprendre les répercussions d’une alimentation carnée afin que vous effectuiez vos choix en toute conscience. Sans vous fier à des idées reçues. Et parmi les idées reçues les plus fréquentes, il y en a une qui pèse souvent lourd dans la balance des consommateurs en goguette avec leur charriot : « Il faut manger de la viande pour faire le plein de protéines et avoir ainsi des muscles forts ».
Si les protéines sont bien évidemment essentielles au bon fonctionnement de l’organisme, ne miser que sur les protéines animales, et notamment la viande, serait une cruelle erreur.
Les
légumes verts feuillus et les légumineuses sont en effet de grands pourvoyeurs de protéines et représentent d’excellents compléments/substituts aux viandes blanches et rouges. Grâce à ces aliments, il est donc possible de réduire votre consommation de viande sans risquer la moindre carence en protéines. Et avec eux, point de problèmes d’acidité !

4 – La viande est un produit cher

En période de crise économique, le prix de la viande est également un argument qui peut vous inciter à réduire votre consommation de produits carnés. Que ce soit du porc, de la volaille mais encore plus du bœuf, de l’agneau ou du veau, la viande coûte chère.
Vouloir en mettre quotidiennement dans son assiette représente un véritable budget. Un budget qui dépend de la variété mais aussi qualité de la viande achetée. Après les différents scandales qui ont touché le secteur de la viande ces dernières années, il est important de privilégier la qualité et, dans la mesure du possible, de consommer de la viande issue de l’agriculture biologique. Un moyen de s’assurer une viande élevée de manière saine, sans alimentation douteuse ni pléthore de médicaments et autres antibiotiques. Cette viande de qualité a bien évidemment un coût. Mais, on vous le répète : mieux vaut en manger moins souvent et en moins grande quantité mais en manger de la bonne. Le reste du temps, les protéines végétales sont parfaites et à prix doux.

5 – Produire de la viande pollue

Si manger moins de viande est un choix de santé pour le consommateur, c’est aussi un choix écologique en tant que citoyen. L’élevage intensif est en effet très polluant : il est une grande source de gaz à effet de serre, favorise la déforestation, contamine les sols et l’eau avec des produits polluants comme les nitrates et les phosphates et gaspille énormément d’eau. Il faut en effet une grande quantité d’eau pour amener un animal à maturité et ainsi produire de la viande. Ce ne sont pas moins de 13.500 litres d’eau qui sont nécessaires pour produire 1kg de viande de bœuf. En comparaison, 1kg de soja ne nécessite que 900 litres d’eau (source : futura-sciences.com).
Vous l’aurez compris, vous pouvez manger de la viande mais en réduire la quantité est un choix qui ne peut être que bénéfique. Bénéfique pour vous, pour votre santé, pour votre porte-monnaie et pour la planète. Dès à présent, adoptez les bons réflexes : choisissez de la viande de qualité et mangez-en une ou deux fois par semaine. Ceci doit être un moment de plaisir, de partage, et non plus une habitude fondée sur la crainte d’un manque de protéines.

Source :
Erwann Menthéour
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Une recette de saison délicieuse pour les intolérants ou les adeptes du sans gluten.

Ingrédients :
- 200 g de courge cuite préalablement à la vapeur douce
- 2 œufs
- 100 g de sucre de canne
- 250 g de farine mix sans gluten
- 120 g de beurre doux fondu
- 1/2 sachet de levure sans gluten
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Préparation :

Préchauffer le four à 200° (thermostat 6-7).

Dans un saladier blanchir ensemble les œufs et le sucre.
Ajouter la courge cuite mixée et bien mélanger.  
Incorporer la farine tamisée, le beurre fondu et la levure et bien mélanger le tout jusqu’à l’obtention d’une pate lisse .

Mettre en moules préalablement beurrés, remplir au 3/4 pour éviter les débordements lors de la cuisson.
Enfourner environ 10 à 15 mn jusqu'à ce que les madeleines soient gonflées et bien dorées.

              A déguster tièdes pour encore plus de saveur !

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